Les sociétés productrices de pétrole au Nigéria ont brûlé du gaz d’une valeur de 2,5 milliards de dollars (875 milliards de nairas) au cours de la dernière année. Les sociétés comprennent les sociétés pétrolières internationales (CIO), les producteurs indépendants et la Nigerian Petroleum Development Company (NPDC). Pétrole : le Nigeria réclame 62 milliards de dollars aux compagnies pétrolières Shell, Exxon Mobil, Chevron, Total, Eni ont saisi la Haute Cour fédérale pour contester cette injonction. Total entame l’année 2019 au Nigeria par le démarrage de nouvelles unités de production gazières et pétrolières en eaux profondes. Le champ pétrolifère d’Egina, est l’une des étapes dans l’exécution de la stratégie d'investissement du groupe Total dans des gisements profonds en Afrique et en Amérique latine. La compagnie pétrolière texane est l’une des icônes du secteur mais aussi la plus grande compagnie privée en termes de production avec 5.3 millions de barils par jour. Quand Exxon racheta Mobil en 1999 (les 2 sociétés ont pour origine la Standard Oil de John D. Rockefeller) cela créa la plus grande compagnie au monde. De nos jours, Exxon Mobil a ses activités sur tous les continents Chakib Khelil relève les points faibles des compagnies pétrolières américaines par Safia Berkouk, Le Jeune Indépendant, 2 décembre 2006 L’avenir des firmes pétrolières américaines en Algérie et dans d’autres pays du continent noir s’annonce plutôt sombre face à la concurrence montante des firmes asiatiques. Historiquement, l’Amérique a toujours été le pays leader en matière de promotion de la transparence et de la lutte contre la corruption,
Pétrole : le Nigeria réclame 13 milliards aux majors. Le gouvernement nigérian accuse les compagnies de n'avoir pas déclaré tous les barils exportés. L’étude et la comparaison des sociétés d’État pétrolières de l’Algérie, du Nigeria et de l’Angola permettent de comprendre l’histoire politique de ces pays. Leur réel périmètre d’action s’évalue en fonction de nombreux paramètres économiques et politiques. La Sonangol angolaise a été la
La Chambre africaine de l'énergie a révélé lundi dernier que les entreprises américaines ne seront pas laissées à l'écart que les investissements dans le secteur de l'énergie angolais augmentent. Selon l'institution régionale, les programmes de réformes mis en place par les autorités du pays offrent aux Américains une occasion de se réengager et de réinvestir sur ce marché. En dépit de certains discours, le pétrole sur le continent africain ne représente qu’un peu plus de 3 % des réserves mondiales prouvées et 5 % de la production. L’importance toute relative de l’Afrique subsaharienne n’interdit cependant pas l’émergence de puissances pétrolières comme le Nigeria et l’Angola, voire à terme la Guinée-Équatoriale. L'incapacité du Nigeria à mettre à jour ses lois du secteur pétrolier, vieilles de près de 30 ans, a - aux yeux du gouvernement - permis aux sociétés pétrolières internationales de tirer parti de ses gisements offshore lucratifs depuis trop longtemps. Avec une nouvelle loi régissant ces gisements, le Nigeria fixe les limites de la renégociation de ses contrats en eaux profondes.
En théorie, le Nigeria devrait bénéficier à plein d'une manne sans équivalent en Afrique subsaharienne. Le pays le plus peuplé du continent est assis sur 37 milliards de barils de pétrole Avec 13 entreprises, l'Afrique du Sud domine le classement africain du magazine "Forbes", donnant l'impression que les champions nationaux du continent peinent à l'international. Au Nigeria, les sociétés pétrolières sont déjà confrontées à une multitude de risques d’investissements en surface, tels que les vols de pétrole brut qui endommagent leurs infrastructures. Et maintenant, avec la bureaucratie et les redevances ajoutées, la vie est sur le point de devenir encore plus difficile pour les sociétés pétrolières opérant au large de la côte riche en Les affaires judiciaires s'accumulent autour de l'ex-ministre du Pétrole du Nigeria, donnant une idée de l'ampleur de la corruption au sein de ce secteur particulièrement lucratif dans le pays
Le Nigeria craint de perdre sa relation spéciale avec les États-Unis. Après avoir expliqué la logique de l’écroulement des importations pétrolières américaines venant d’Afrique d’un point de vue comptable, il convient d’en analyser les conséquences géopolitiques. Il est vrai que l’Algérie ou l’Angola subissent des baisses Le Nigeria demande à faire appel de la décision, mais P&ID ne perd pas de temps à tenter de saisir des avoirs nigérians à l’étranger, et il pourrait très bien y arriver, du moins en partie. De plus, P&ID n’a même jamais commencé la construction de cette centrale électrique qui, selon elle, aurait profité à autant de milliers de Nigérians. Au Nigeria où elles ont remporté des contrats, entre 1995 et 2004, pour la construction d’une usine de gaz liquéfié à Bonny Island d’un montant de 6 milliards de dollars, les deux firmes américaines ont versé des pots-de-vin. Poursuivies par la justice des USA, elles ont été condamnées en février 2009. «Les sociétés ont versé